Alger,Le quartier de Bab-El-Oued 2, Chacun trouvera surement Bab-el-Oued à sa porte et dira que le vrai Bab-el-Oued,c' était sa rue,C'est un point de vue; Au centre de la place du Tertre, commençait le rue de Normandie qui elle aussi descendait jusqu’à la rue des Consulats,elle coupait à mi-chemin, la rue Cardinal Verdier, Elle jouxtait la place Lelièvre , avec l’église Saint Joseph et son école libre, carrières Jaubert,avenue de la Bouzaréah,rue Léon Roches,rue Jules Cambon,boulevard de Champagne, Place Jules Cambon,Carrefour du Triolet,l’avenue du Frais Vallon,la vallée du Mkacel,Oued Atoun, Climat-de-France,Général Verneau,la Bassetta,place du Tertre,le Rialto,rue Pierre Leroux,rue des Moulins,avenue des Consulats,rue de Châteaudun et son marché si pittoresque,l’église Saint Joseph, l'hôpital Maillot,boulevard Malakoff,le tramway,Bar des Sport,Mairie du 1° Arrondissement,rue Charles Lebar,rue de la Consolation,rue des Lavandières, photos, quartier,Pieds-noirs, Algerois,

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Le quartier de Bab-el-Oued (2).

Chacun trouvera surement Bab-el-Oued à sa porte et
dira que le vrai Bab-el-Oued , c' était sa rue.

C'est un point de vue !

Pourtant, au cours des dernières années de son histoire,
le quartier de Bab-el-Oued s'est inscrit dans un périmètre indéfinissable,
doté d'une connotation symbolique forte :

Les Trois - Horloges .

Quelle gloire inespérée pour ce constructeur d'horloge devenu par le hasard des événements
l'inventeur inconnu d'un célèbre monument, le dernier du genre pour Alger!

Elles constituaient le cœur de la géographie humaine de Bab-el-Oued,

une sorte de centre névralgique qui irriguait la périphérie de ses artères :
Avenues, boulevards et rues.

L es Trois Horloges avant 1960.

Du centre de cette étoile
s'étendait un dense réseau de voies,
certaines longeaient des bâtiments à arcades.

Elles étaient empruntées par

les voitures,
les tramways
les trolleys.

Poursuivant sa dure ascension vers
les hauteurs des carrières Jaubert,

L’avenue de la Bouzaréah laissait sur
sa gauche la longue rue Léon Roches
qui l’accompagnait presque parallèlement
jusqu'à hauteur de la rue Jules Cambon.

Dans les 120 derniers mètres de son ascension,
elle côtoyait le boulevard de Champagne
qui commençait sa longue descente vers
le front de mer.

Avant son arrivée sur la Place Jules Cambon dit :
Carrefour du Triolet.
De ce carrefour partait l’avenue du Frais Vallon,
qui remontant le flanc droit de la vallée du Mkacel ou Oued Atoun.
Elle longeait et contournait le bas de Climat-de-France.

La rue Jules Cambon,
qui descendant vers Bab-El-Oued aboutissait rue Général Verneau.

La Place Jules-Cambon ou carrefour du Triolet.

Après son premier lacet, le boulevard de Champagne arrivait sur la place du Tertre
Pour certains la Bassetta

pour d’autres, la Bassetta se situant un peu plus haut !!!

La Place du Tertre.

La Bassetta était d'ailleurs resté le quartier espagnol à l'extrême limite de Bab El Oued
En 1910, au milieu de la place du Tertre, il y avait un lavoir.

Sur la place du Tertre :

le Rialto, cinéma populaire, pouvait accueillir 150 à 200 personnes.

A gauche de la place du Tertre,
la rue Pierre Leroux, formait un « « Y » » avec la rue des Moulins,
qui descendait jusqu’à l’avenue des Consulats.

Elle coupant en son milieu la rue de Châteaudun et son marché si pittoresque.

La rue de Châteaudun et son marché.

La rue de Châteaudun,
avait le privilège de faire face à l’église Saint Joseph,
située place Lelièvre.

Dans la partie haute de la rue
on trouvait sur la gauche l'immense marché couvert avec
tout autour des marchands de légumes.

La rue de Châteaudun
le marché couvert et l’église Saint Joseph.

L' avenue des Consulats au début de 1959.

Cernée à droite par la boulevard de Champagne
qui poursuivait sa descente vers le front de mer,
contournait l'hôpital Maillot et
aboutissait boulevard Malakoff.

à gauche, par le boulevard de Provence
qui commençant aux trois horloges et
finissait lui aussi sa course sur le front de mer.

Au centre de ces deux grands boulevards,
l'avenue des Consulats demeurait la voie royale.
Elle reliait les Trois Horloges à l'hôpital Maillot.

L' avenue des Consulats au début de 1900.
le tramway

Au centre de la place du Tertre,
commençait le rue de Normandie qui elle aussi descendait jusqu’à la rue des Consulats
Elle coupait à mi-chemin, la rue Cardinal Verdier .
Elle jouxtait la place Lelièvre , avec l’église Saint Joseph et son école libre.

Le Bar des Sport et les Brochettes Rue de Normandie

La Mairie du 1° Arrondissement

Bab-El-Oued

était située dans la petite rue Charles Lebar,
qui formait un triangle parfait avec la
rue de la Consolation et la rue des Lavandières
à quelques pas du boulevard de Provence et
de l' Avenue Malakoff.

La Place des Trois Horloges en 1920.

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