- Gisèle la Faussaire
- La spécialiste des faux témoignages, Maitre Gisèle Halimi, avait déjà en janvier 1958, demandé le transfert du tribunal, dans un autre lieu.
- Ce jour-là le tribunal militaire jugé les 44 inculpés du massacre d'El-Halia, et, les 39 autres inculpés en fuites.
- Il y avait 31 témoins, tous des survivants de ce centre d'El-Halia.
- A El-Halia, les insurgés ont tué, aussi, des musulmans pro-français.
- Ce jour-là le tribunal militaire jugé les 44 inculpés du massacre d'El-Halia, et, les 39 autres inculpés en fuites.
- Au cout du procès, la défense mettra en avant, les quelques erreurs, dans les rapports d'autopsies réalisée par le médecin légiste.
Il avait en 48 heures, réalisé, juste pour El-Halia, 74 rapports d'autopsies.
- Oui, le médecin légiste a mélangé quelques fiches, surtout la partie concernant les décès de la famille Pusceddu.
Certains figuraient comme égorgés, alors qu'ils avaient été tués par balles.
- Mais, il fallait faire vite, car en ce mois d’Août 1955, au soleil, la température dépassait les 55 degrés.
- Oui, le médecin légiste a mélangé quelques fiches, surtout la partie concernant les décès de la famille Pusceddu.
- C'est lors de la déposition de Marie-Jeanne Pusceddu,
unique survivante de cette famille, laissée pour morte par la bande d'assassins, elle déclarait :
- Sur la fiche du rapport du légiste, la mort de madame Pusceddu Victorine, née Scarforto, était « égorgée ».
- Marie-Jeanne Pusceddu désignait
le coupable et ses complices, qu’elle connaissait depuis toujours, Sebab Saïd, le chauffeur de taxi, et ses fils.
- C’est le taxi de Sebab Saïd, qui avait ramenés les nouveaux mariés au centre minier d’El-Halia, le 19 Août 1955.
- C’est le taxi de Sebab Saïd, qui avait ramenés les nouveaux mariés au centre minier d’El-Halia, le 19 Août 1955.
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Le 7 Mars 1958, le tribunal rendait sa sentence, 15 condamnations à morts..
- Mais la faussaire Gisèle et son complice Léo Matarasso, déposeront un recours pour vice de forme.
- Le 11 avril 1958, le tribunal militaire d'Alger, cassé le jugement du 7 mars 1958.
- Lors du second jugement, en novembre 1958, seuls trois furent condamnés à morts.
- Mais, les condamnés à mort, furent graciés par le Grand Charles, on était en 1959 !!!!
- Lors du second jugement, en novembre 1958, seuls trois furent condamnés à morts.
- Mais la faussaire Gisèle et son complice Léo Matarasso, déposeront un recours pour vice de forme.
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L'héroïne, que notre président Macron voulait « pentholisée », présentait des témoins qui avaient vu le coupable
à plus de 160 km des lieux du massacre, elle déclarait, qu'il avait été torturé par l'armée.
- El-Helia est un massacre gratuit, grâce à la faussaire de service, madame Gisèle Halimi.
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En Novembre 1961, elle sortira de son chapeau, le témoignage de Zined Laroussi, qui avait vu Boupacha à Hussein-dey.
- Que sa mère, Pusceddu Victorine, née Scarforto, avait été tue sous ses yeux, par balle,
ainsi, que ses deux sœurs, Olga et Anna, 13 et 16 ans, et son frère Julien, 20 ans.
Que son mari, André Brandy, ingénieur des mines, avait survécu au massacre,
mais que sa belle-sœur Rose Brady avait été tuée, ainsi que ses trois enfants, âgés de 2, 3 et 9 ans.
- Sur la fiche du rapport du légiste, la mort de madame Pusceddu Victorine, née Scarforto, était « égorgée ».
- Bizarre, vous avez dit bizarre.
- La seule et unique référence qui figure aux ANOM, c'est la requête N°26, en date du 11 décembre 1961,
émanant du Président de la commission de sauvegarde, M. Maurice Patin, suite à une lettre au juge de Caen,
envoyée par une assistante sociale, Madame Tarrazi, pour sévices sur Zineb Laroussi, et, disparition de Zoulika Benzine, les deux témoins de Djamila Boupacha.
- Aucune trace dans le registre des écrous de la prison de Barberousse, de la nommée Zineb.
- Aucune trace, dans les recueils des actes administratifs, pour l'emploi occupé au centre Pierre et Marie Curie,
inauguré en Novembre 1959. !!!!!
- Aucune trace dans les écoles du Grand Alger pour la dénommée Zineb Laroussi.
- Aucune trace dans le registre des écrous de la prison de Barberousse, de la nommée Zineb.
- La seule et unique référence qui figure aux ANOM, c'est la requête N°26, en date du 11 décembre 1961,
- La spécialiste des faux témoignages, Maitre Gisèle Halimi, avait déjà en janvier 1958, demandé le transfert du tribunal, dans un autre lieu.
Gisèle la Faussaire. !!!.