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Le    Boulevard    Gallieni.





Au dessus du Palais du Gouverneur,
  • se trouvait le carrefour des avenues,   boulevards   et rues
    qui menaient les Algérois   vers les communes d’El-Biar et Birmandreis,
     
  • et les quartiers de La Redoute, et Belcourt.



Le Boulevard Gallieni cheminant parmi les villas et jardins

le boulevard Galliéni



Le développement des moyens de transport en commun,
  • notamment la mise en service des trolleybus, a facilité le peuplement :
     
      • de la Colonne Voirol,
      • de la Redoute,
      • du boulevard Gallieni
         
  • par lesquels triomphant des pentes, Alger déborde sur les plateaux du Sahel.


L’ église Sainte Marie,   située au bout de l’ avenue Franklin Roosevelt était juste en face
du début du boulevard Gallieni.


Le Boulevard Gallieni montant vers la commune d'El-Biard par Saint Raphaël.

le boulevard Galliéni



Les premiers lacets du boulevard Gallieni,
  • à hauteur du N° 50 du boulevard,
  • juste en dessous de la villa du Gouverneur de la banque de l'Algérie.
     
  • La rue en épingle à cheveux est la rue Blaise Pascal.
     
  • En haut à gauche le bois de la Princesse d' Annam
  • en haut à droite le balcon de Saint Raphael.


le boulevard Galliéni



Les villas du quartier de la Côte fleurie.
  • dans les lacets de l' avenue de Maubeuge montant
    vers le chemin des Aqueducs.
     
  • Vue de l'immeuble Le Pacha au 26 boulevard Gallieni,
    à quelques mètres de la Clinique des Glycines.


le boulevard Galliéni




hôtel Saint Georges

L’hôtel Saint Georges




A partir de l'église Sainte-Marie,
la rue Franklin-Roosevelt devenait
l'avenue de la Mission-Saharienne-Foureau-Lamy.



Au n° 23 de l'avenue,
s' élevait   l'Hôtel Saint - Georges.



L' architecte Anglais Sir Bucknall
  • s'inspira des modèles des villas
    du quartier pour créer le fameux
    Hôtel Saint - Georges.











Hall de l' Hotel Saint-Georges.

Hall de l' Hotel Saint-Georges




Le Musée Savorgan-de-Brazza


Le célèbre explorateur de l'Afrique noire :
 
  • Pierre Savorgnan,   comte de Brazza,
    (Rome, 1852 — Dakar, 1905)
     
  • fut, par son action, le principal acteur de la domination de la France sur
    l'ex-territoire du Moyen-Congo, devenu la République populaire du Congo.
     
  • La capitale, Brazzaville,   évoque toujours le nom de l'explorateur,
    celui (italianisé) d'une île de la côte dalmate : Brac.
     
  • Avec des moyens très réduits à l'origine,
    Brazza entreprend en 1875 l'exploration du cours de l'Ogooué.
    Il pénètre à l'intérieur des terres de l'actuel Gabon, en partant de Libreville.



Façade du Musée Savorgan-de-Brazza.

Façade du Musée Savorgnan-de-Brazza





Pierre Savorgnan-de-Brazza Pierre Savorgnan de Brazza,
 
  • fut enterré à Alger, où il s'était retiré avec sa famille.
     
  • Son tombeau portait une épitaphe qui amenait réflexion :

       « Sa mémoire est pure de sang humain ».

     
  • A sa mort, la famille fit don de sa villa
    au Gouvernement général à condition que celui-ci
    en fasse un musée-souvenir des voyages de l'explorateur.
     
  • Le musée fut inauguré en février 1952, à l'occasion du Centenaire de sa naissance.
  • C'était au n° 56 de
    l'avenue Mission-Saharienne-Foureau-Lamy.




L’ Avenue Foureau Lamy,
  • effectuait un brusque virage à gauche pour se dirigeait vers La colonne Voirol.
     
  • C’est sur cette épingle à cheveu que commençait l’ Avenue Jonnart.


Le carrefour des Avenues Foureau Lamy et Jonnart.

carrefour des Avenues Foureau Lamy et Jonnart






   Mais retournons au carrefour précédent ……….




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