Alger, l'opera Municipal, Inauguré en Septembre 1853, incendié vingt ans après et reconstruit tel quel, L' Opéra fut refait et modernisé entre les deux guerres, La facade fut conservée, mais l'intérieur entierement modifié,La représentation la plus originale restée dans les annales de l'Opéra est la séance de prestigiditation donnée le 27 Septembre 1858 par Robert Houdin,Le gouverneur général Randon l'avait fait venir pour combattre l'influence des sorciers indigénes sur la population musulmane,Le square Bresson,baptisé officiellement Square de la Répuplique puis square Aristide Briand,Il a souvent changé de nom, Mais les Algérois ont continué à l'appeler Square Brésson,le Cercle Militaire installé dans une ancienne caserne de Janissaires,la brasserie du Tantonville,la grande terrasse du Grand café d’Alger,Le square abritait des bancs, des chaises et des oiseaux appréciés par tous ceux qui goutaient au charme du bavardage, On pouvait y voir une population d'habitués, engagés dans d'interminables conversations sous les arbres toujours verts, Ficus,Magnolias, Palmiers,Bambous, photos, quartier,Pieds-noirs, Algerois,

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L' Opéra Municipal.

Inauguré en Septembre 1853,    incendié vingt ans après et   reconstruit tel quel.

L' Opéra fut refait et modernisé entre les deux guerres.
La facade fut conservée, mais l'intérieur entierement modifié.

La représentation la plus originale restée dans les annales de l'Opéra
est la séance de prestigiditation donnée le :

27 Septembre 1858 par Robert Houdin.

Le gouverneur général Randon l'avait fait venir pour combattre l'influence des sorciers indigénes sur
la population musulmane.

L'escamotage d'un spectateur qui fut retrouvé ensuite à la sortie démontra la supériorité de l'Occident
en la matiere.

L'Opéra d'Alger accueillit les plus célèbres chanteurs lyriques du monde entier, ainsi que les tournées théatrales Barel et Karsenty.

Pour la jeunesse la plus aisée d'Alger,
La vie culturelle prenait un tour plus classique et
plus provincial comme le souligne ce témoignage :

Dans les années cinquante :
Nous allions une fois par mois à
l'Opéra d'Alger, le dimanche aprés midi pour écouter une opérette.

C'était un spectacle agréable,
vivant, souvent amusant,
les costumes nous captivaient.

Cinquante ans plus tard, nous sommes encore capable de fredonner :

  Les cloches de corneville

Ding ding ding dong !
sonne sonne sonne joyeux carillon ! .....

L' Opéra Municipal en 1960.

Le Square Bresson

Le square Bresson :
Baptisé officiellement Square de la Répuplique
puis square Aristide Briand
Il a souvent changé de nom.

Mais les Algérois ont continué à l'appeler Square Brésson.

Il déssinait un carré de verdure.
En face de l'Opéra municipal
au coté duquel s'élevait
le Cercle Militaire
installé dans une ancienne
caserne de Janissaires.

De l'autre cote,
  il y avait la brasserie du
""Tantonville"" .

Le square abritait des bancs, des chaises et des oiseaux
appréciés par tous ceux qui goutaient au charme du bavardage.

On pouvait y voir une population d'habitués,
engagés dans d'interminables conversations sous les arbres toujours verts :

Ficus
Magnolias
Palmiers
Bambous

Le kiosque à musique du square Bresson

Des ânes seuls ou tirant de mini-attelages faisaient la joie des enfants.

Endroit bruyant,
il avait l'avantage d'offrir une vue exceptionnelle sur la baie d'Alger.

Square Bresson. Entrée principale.

Le Square Bresson côté boulevard de la République.

Avant de quitter cette place de la république,   allons prendre un dernier rafraîchissement à
la Belle terrasse du Tantonville, avec en face la grande terrasse du Grand café d’Alger.

la Terrasse du Tantonville en 1920.

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